il appelle les fidèles musulmans à la prière

Tabaski2019 à Ouagadougou : Les fidèles musulmans ont prié pour la paix et la cohésion sociale. Accueil > Actualités > Société • LEFASO.NET | Par LEFASO.NET • dimanche 11 août 2019 à 16h47min. Les musulmans du Burkina ont célébré la fête de l’Aïd-el-Kébir, ce dimanche 11 août 2019. A Ouagadougou, comme à l’accoutumée, la Place de la nation a servi Dansson prêche après la prière, le Mufti a rappelé aux fidèles musulmans que tous les Hommes sont égaux devant Dieu. Il a ensuite appelé au vivre-ensemble, à la Ilvise à interdire ou à réduire le volume de l'appel aux Musulmans à la prière, dans les mosquées d'Israël. Comme on pouvait s’y attendre, ce projet de loi a suscité un débat public orageux. Ceux qui s'y opposent l’ont qualifié de discriminatoire, producteur de haine et constituant, pour les musulmans, une atteinte grave à leur liberté de culte. Le chef de la Liste Lejour de la fête de l’Aïd el kebir, les musulmans se lèvent de bonne heure afin d’effectuer El ghassoul ( les grandes ablutions) pour se rendre, comme pour l’aid el fitr, à la mosquée pour la prière de l’aïd Al Adha. En France, la prière a généralement lieu à partir de 8h30. Après la prière, les fidèles se rendent à l Unepremière en Grande-Bretagne. La chaîne publique britannique Channel 4 a annoncé, mardi 2 juillet, qu’elle allait retransmettre chaque matin un appel à la prière (adhan) durant le mois Forum De Site De Rencontre Gratuit. Il fallait concilier le souhait des musulmans de la ville de Zoetermeer, dans le centre des Pays-Bas située à 12 km de La Haye, et celui des proches riverains qui ne voulaient pas être dérangés par l’appel à la prière 5 fois par jour. Cela va se passer via une application, installée sur le smartphone. Concrètement, il n’y aura plus d’appel du muezzin dans cette ville. Pour que le projet de mosquée soit accepté par les autorités locales, il a été convenu de concevoir et de lancer une application qui sera disponible sur les principaux stores iOs et Android, en vue de prévenir les fidèles de l’appel à la prière. Cette question avait été soulevée lors du Conseil municipal par certains riverains qui s’inquiétaient des inconvénients éventuels de l’appel à la prière ». En vertu de la loi aux Pays-Bas, le Maire n’avait, de toute façon, pas le droit d’interdire cet appel, mais la solution a été apportée par les musulmans de la ville eux-mêmes, dans leur souci d’apaiser les tensions. L’association cultuelle locale a donc proposé de créer une application, aussi parce que de nombreux fidèles n’habitent pas à proximité de la future mosquée ». En outre, il a été question de la situation des places de stationnement, qui sont au nombre de 25, pour la future mosquée. Une trentaine de places sont également prévues pour les fidèles aux alentours. La mosquée s’attend à une affluence maximale de 200 personnes, les jours de pointe, comme le vendredi et les jours de fête. A partir du 21 juin prochain, le plan du projet sera accessible aux riverains désireux de s’informer sur la construction de la mosquée. Il est 13h27 à Istanbul. Des minarets de Sainte-Sophie s’élève la voix du muezzin. Elle clame Allah est le plus grand» et interpelle les fidèles Venez à la prière! Venez à la félicité!»Ils sont déjà là, par milliers, contemplant l’instant historique. Celui où Sainte-Sophie, qui fut au temps des Ottomans la première mosquée d’Istanbul convertie aussitôt conquise, résonne à l’unisson de celles qui l’ont suivie. Ce 24 juillet 2020, pour la première fois depuis 86 ans, les musulmans sont invités sous sa grande aussi Sainte-Sophie se reconvertit en mosquéeIl s’agit d’une invitation au sens le plus concret du terme. Cinq cents personnes ont été conviées au programme d’ouverture de la Mosquée Sacrée de la Grande Sainte-Sophie», le nouveau nom des lieux, en présence du président, Recep Tayyip Erdogan. Ministres, chefs de parti, représentants d’association, journalistes proches du pouvoir avaient reçu ces derniers jours leur carton d’invitation. Kemal Kiliçdaroglu, le chef du principal parti d’opposition, est l’un des rares qui manquent à l’appel. Il a refusé de prier devant les caméras».Tapis tourné vers La MecqueDepuis le début de la matinée, les fidèles foulent le tapis neuf aux nuances turquoise, dont le fabricant raconte fièrement que même les fibres 100% laine sont tournées vers La Mecque». Chacun se déchausse à l’entrée et les femmes, têtes voilées, avancent vers l’espace qui leur est réservé. En turban et tunique blancs, le chef de l’Autorité des affaires religieuses Diyanet grimpe les marches du minbar. Il tient un sabre dans la main gauche – une tradition ottomane – et prononce le sermon avant la prière rituelle. Nous sommes témoins d’un moment historique […] Dieu merci, c’est la fin d’une blessure profonde dans le cœur de notre nation», proclame cet imam, en préambule d’un prêche d’une vingtaine de minutes. Sous le dôme, les fidèles l’écoutent, éloignés les uns des autres par un mètre de distance sociale». La scène est toute différente dehors, sur la vaste esplanade et dans les rues adjacentes, où des dizaines de milliers de fidèles se joignent à la prière, presque collés les uns aux autres. Un écran géant retransmet les images de la mosquée, tandis que 21 000 policiers surveillent la foule qui se prosterne sous le soleil brûlant de midi.Il ne s’agit pas de gagner un nouveau lieu de culte. Derrière nous, il y a la mosquée de Sultanahmet, on pourrait très bien y prier. Il s’agit de prendre en charge l’héritage de notre ancêtre, le sultan Mehmet le Conquérant», s’enthousiasme Cihat Cengiz, un jeune enseignant qui a fait 150 km pour prier devant Sainte-Sophie. J’y étais déjà venu quand elle était un musée, c’était impossible d’y prier, les gens marchaient avec leurs chaussures là où les fidèles auraient dû poser leurs tapis. Grâce à notre président, la Turquie s’est enfin libérée de cette malédiction.»Cacher les fresques byzantinesAux premières loges, les yeux rougis par une nuit d’insomnie, Serhat Maden a hâte d’entrer dans l’édifice. Il ne comprend pas les critiques de certains pays étrangers. Nous ne convertissons pas une église en mosquée, nous récupérons une mosquée qui n’aurait jamais dû être musée!» s’exclame-t-il. Des frères musulmans du monde entier sont ici aujourd’hui… Nous respectons toutes les croyances et nous attendons la même chose des autres.»Tout est allé très vite. Le 10 juillet dernier, le Conseil d’Etat révoquait le statut de musée offert à l’édifice en 1934 par le fondateur de la République, Mustafa Kemal Atatürk. Son lointain successeur, Recep Tayyip Erdogan, décidait aussitôt de le restituer au culte. En pratique, moins de 15 jours auront suffi pour que le musée devienne mosquée, avec tous les aménagements que ce changement de statut défi cacher, tout en les préservant, les fresques et mosaïques héritées de la première vie» de Sainte-Sophie, l’église byzantine 537-1453. Les autorités ont choisi un système de rideaux, assurant que pas un seul clou» n’avait été planté dans la structure du en disparitionRecep Tayyip Erdogan s’est engagé à ce qu’en dehors des heures de prière, Sainte-Sophie reste ouverte à tous, musulmans et non-musulmans». Une allusion, d’abord, aux visiteurs étrangers. Car les minorités de Turquie, notamment les orthodoxes hellénophones – les Roums», descendants des Byzantins –, ont vu leur population fondre au fil du XXe siècle, à force de pogroms, d’expulsions, de également Priez pour eux, sainte Sagesse d’IstanbulLes Roums d’Istanbul étaient au moins 100 000 au début des années 1950, ils ne sont plus que 1800. Ceux-là ont accueilli dans un silence inquiet l’islamisation de Sainte-Sophie. Juste avant les pogroms de 1955, on lisait dans la presse des articles dénigrant et menaçant les Roums», se souvient Mihail Vasiliadis, figure de la communauté. Avec tous ces débats autour de Sainte-Sophie, on a vu réapparaître des articles similaires qui ont apeuré les Roums et toutes les minorités religieuses. A tel point que quand la décision sur Sainte-Sophie a été annoncée, beaucoup se sont dit Ouf! Cette affaire se termine sans qu’il nous soit arrivé quoi que ce soit». Publié le 09/01/2015 à 1823 "Dieu pleure, s'il voit ça" dans une grande mosquée de Châteauroux, comme partout ailleurs en France, la prière du vendredi a été dominée par l'attentat contre Charlie Hebdo, et suivie d'un rassemblement dénonçant les auteurs du carnage. "Ces gens-là n'ont rien compris à la religion musulmane. C'est un comportement barbare", dit Boumedien Chbani, secrétaire de l'Association cultuelle et culturelle des Marocains de l'Indre ACCMI, qui gère la Mosquée des Bienfaiteurs à Châteauroux, un grand bâtiment récent en forme de halle, surmonté d'un toit en tôle rouge et d'un clocheton, mais sans minaret. "Le Coran n'a jamais demandé de tuer", renchérit le président de l'association, Bouchaib Hamdani, deux jours après l'attentat qui a fait 12 morts au siège parisien de l'hebdomadaire la prière et le prêche -en arabe, puis en français- de l'imam marocain Hassan Fadili, faisant l'éloge de la "miséricorde et la compassion" du prophète Mahomet, y compris envers les animaux, les quelque 300 fidèles se rassemblent devant la mosquée, la plus importante des trois lieux de culte musulman de le parking, dans un quartier HLM, ils rejoignent sous un crachin tenace une trentaine de non-musulmans, certains portant des badges frappés du mot d'ordre "Je suis Charlie", en français et en par des fidèles, jeunes et vieux mêlés, en habit de ville ou en gandoura, des banderoles proclament "défendons les valeurs républicaines", "non à la violence", "Condamnation - indignation".Des femmes soutiennent un calicot "l'islam = paix, tolérance, respect". Dans la petite foule, des pancartes comme "le terrorisme n'a pas de religion", "sans foi ni loi"."Celui qui n'est pas miséricordieux envers les hommes n'aura pas droit à la miséricorde d'Allah", avait tonné auparavant l'imam , vêtu d'une djellaba immaculée, du haut du minbar chaire. Stigmatisant des terroristes qui "salissent l'image de l'islam", le religieux a souligné que "nous, les musulmans, nous sommes aussi les victimes directes ou indirectes de tels agissements", avant de mener la prière des fidèles prosternés devant le mihrab, indiquant la direction de la le groupe de fidèles rassemblés face à la mosquée, le vice-président de l'ACCMI, Faouzi Jawadi, appelle sous les applaudissements "tous" les fidèles à participer au rassemblement organisé dimanche devant la appel relayé dans la plupart des mosquées du pays, comme à Paris par l'imam Abdel Qader Achour, de la mosquée de la rue Jean-Pierre Timbaud XIe arrondissement. "Nous allons tous y aller", a assuré à l'AFP un fidèle, Mahmoud Khalaf. 'Patience' face aux provocations "Oui, j'irai à la manifestation", a proclamé l'imam Chabbar Taieb, de la mosquée Ali, rue du faubourg Saint-Denis à Paris, qui a demandé aux fidèles "de faire preuve de patience face à d'éventuelles provocations anti-musulmanes".A la grande mosquée de Paris, le recteur Dalil Boubakeur a lancé "un appel solennel à tous les musulmans de France pour participer … à la journée" de manifestation de dimanche."Tout le monde est bouleversé et ému par la tuerie qui a eu lieu à Paris", a déclaré en chaire l'imam Belgacem Ben Saïd, de la mosquée Assalam de Nantes. "En janvier 2006, quand il y a eu les caricatures du prophète Mahomet, nous étions les premiers à condamner ces images et ces caricatures. Mais rien ne peut justifier une telle violence", a-t-il tonné. "A la caricature, nous répondons par la caricature, par un dessin, à un article de presse par un article, à une interview par une interview. Mais on ne répond pas avec les armes. On ne met pas sur le même plan un dessin et une kalachnikov", s'est indigné l’imam Mustafa Riad de la mosquée de l'Union à Montpellier, devant 300 fidèles."Je fais appel à vous, à tous les musulmans de Marseille" pour participer au rassemblement prévu samedi, a lancé du haut de sa chaire l'imam Mohsen N'gazou. "Il faut que la société voie sa composante musulmane participer... avec nos chibanis anciens, nos femmes, nos jeunes" a-t-il Strasbourg, où un millier de fidèles ont pris part à la prière à la Grande Mosquée, l'imam Mohamed Moussaoui a lancé un appel à la "vigilance" pour préserver la "sécurité" de la France. "Malheur à celui qui effraie les gens chez eux ou ailleurs", a-t-il dit. "Nous vivons dans ce pays et il vous incombe à tous de préserver sa tranquillité", a-t-il insisté en souhaitant "que la justice passe"."On est pris en otages entre les extrémistes religieux et les extrémistes politiques", a dit à l'AFP Abdelkarim Ramdane, un jeune conseiller municipal venu assister à la prière qui s'interroge "comment créer des ponts pour éviter de rentrer dans la brèche de violence?" Codycross est un jeu mobile dont l'objectif est de trouver tous les mots d'une grille. Pour cela, vous ne disposez que des définitions de chaque mot. Certaines lettres peuvent parfois être présentes pour le mot à deviner. Sur Astuces-Jeux, nous vous proposons de découvrir la solution complète de Codycross. Voici le mot à trouver pour la définition "Il appelle les fidèles musulmans à la prière" groupe 341 – grille n°5 muezzin Une fois ce nouveau mot deviné, vous pouvez retrouver la solution des autres mots se trouvant dans la même grille en cliquant ici. Sinon, vous pouvez vous rendre sur la page sommaire de Codycross pour retrouver la solution complète du jeu. 👍 Religions Des prières de rues sont organisées dans la commune depuis l’expulsion, en mars, des fidèles musulmans du local qu’ils occupaient. Au lendemain de l’intervention du ministre de l’intérieur, Gérard Collomb, qui a déclaré qu’ il ne [pouvait] y avoir de prières de rue » à Clichy-la-Garenne, mais que les musulmans de cette ville devaient avoir un lieu de culte décent », la préfecture des Hauts-de-Seine a réuni, jeudi 16 novembre, des représentants de la ville et des représentants de l’Union des associations musulmanes de Clichy UAMC. Dimanche 19 novembre lors de l’émission Questions politiques », le ministre de l’intérieur a réaffirmé que les autorités empêcheraient les prières de rue dans la commune, alors que l’UAMC a l’intention d’en organiser une vendredi prochain en centre-ville. Il a ajouté qu’il fallait que les musulmans puissent avoir un lieu de culte pour pouvoir prier », précisant On fera en sorte que l’on résolve dans les prochaines semaines ce conflit ». Objectif essayer de mettre un terme au conflit qui oppose depuis des mois l’UAMC, qui appelle les fidèles à des prières de rue pour réclamer l’ouverture d’un nouveau lieu de culte, et la mairie, qui souligne l’existence d’une mosquée dans la commune. Ce conflit a pris une dimension nouvelle après la manifestation, très médiatisée, d’une centaine d’élus contre les prières de rue, vendredi 10 novembre. Quelle est l’origine du différend ? Le conflit a débuté avec la fermeture d’une salle de prière de la rue Estienne-d’Orves, où se réunissaient quotidiennement entre 3 000 et 5 000 fidèles », selon l’UAMC. Cette dernière louait les locaux à la mairie depuis 2013, quand le précédent maire, le socialiste Gilles Catoire, les avait transformés en lieu cultuel. Mais le bail précaire signé avec la municipalité expirait en juillet 2016 et Rémi Muzeau, le maire Les Républicains LR, élu en 2015, a décidé de récupérer le local pour en faire une médiathèque. Lire aussi Article réservé à nos abonnés Est-ce que la laïcité est respectée en France ? Je ne crois pas » L’UAMC, qui souhaitait racheter le local, a refusé de quitter les lieux, malgré une décision d’expulsion du tribunal administratif de Cergy-Pontoise d’août 2016, confirmée par le Conseil d’Etat en novembre 2016. La préfecture a ordonné à la police de déloger l’association le 21 mars. Depuis, l’UAMC appelle à des prières de rue, tous les vendredis, devant la mairie de Clichy-la-Garenne, dans une rue importante de la commune. Après plusieurs mois, le conflit juridique a pris une tournure politique. Une centaine d’élus, maires, parlementaires, conseillers municipaux, départementaux et régionaux LR, Union des démocrates et indépendants UDI, MoDem et Front national FN, se sont rassemblés vendredi à Clichy derrière la banderole Stop aux prières de rue illégales ». Des habitants se sont également joints à la manifestation, ainsi que quelques membres du mouvement Forces laïques, qui scandaient Aucun culte, la France est laïque ! » La mairie doit-elle mettre un lieu à disposition ? Le droit n’oblige en rien une collectivité à fournir, de manière permanente, un lieu à une association cultuelle pour qu’elle puisse pratiquer sa religion. L’article 1 de la loi de 1905 stipule que la République garantit le libre exercice des cultes », mais cela ne signifie pas que l’Etat a le devoir de fournir des lieux de prière aux associations cultuelles. Cet acte relève souvent d’une volonté politique. En effet, tous les droits ne sont pas garantis par la puissance publique de la même manière. Elle doit intervenir pour en assurer certains le droit à l’éducation, par exemple, en construisant des écoles et en payant des professeurs, mais elle doit simplement veiller à ce que d’autres ne soient pas entravés la liberté d’aller et venir, ou la liberté d’expression, par exemple. Lire aussi Article réservé à nos abonnés L’espace public doit-il être neutre ? Au nom de la laïcité et au regard de l’interprétation qui est aujourd’hui faite de la loi, le droit au libre exercice des cultes appartient à la deuxième catégorie. L’Etat doit veiller à ne pas réprimer ce droit, mais il n’a pas l’obligation d’interférer – ici, de fournir un lieu pour l’exercice du culte – pour lui permettre d’être effectif. L’association doit acheter ou louer un local, en fonction des disponibilités. Cependant, en vertu d’une décision du Conseil d’Etat de 2015, la justice peut obliger un maire à fournir un local à une association cultuelle pour un événement ponctuel, s’il en existe un de disponible. Dans tous les cas, cette mise à disposition ne peut être gratuite, car elle reviendrait à subventionner un culte ; ce qui est interdit par la loi de séparation des Eglises et de l’Etat. Les prières de rue sont-elles illégales ? Rien, dans la loi, n’interdit à des croyants de prier dans la rue. La Déclaration des droits de l’homme et du citoyen dispose que nul ne doit être inquiété pour ses opinions, même religieuses, pourvu que leur manifestation ne trouble pas l’ordre public établi par la loi ». La préfecture des Hauts-de-Seine a d’ailleurs précisé que l’interdiction réclamée par le maire de la ville se devait d’être strictement nécessaire au maintien de l’ordre public ». Il ne suffit pas qu’il existe … une menace de trouble à l’ordre public susceptible de justifier la mesure de police, il faut que cette mesure soit appropriée, par sa nature et sa gravité, à l’importance de la menace », a-t-elle expliqué. Quelles sont les solutions proposées ? Le maire de la ville a inauguré, en mai 2016, un centre cultuel et culturel rue des Trois-Pavillons, à 1,5 kilomètre du centre-ville de Clichy, vers lequel elle renvoie les fidèles. Lire aussi Article réservé à nos abonnés En France, la logique de la restriction de la liberté religieuse au travail s’est imposée » Ce lieu de 2 000 mètres carrés, mis à disposition sous la forme d’un bail de 99 ans, comporte notamment deux salles de prière qui peuvent chacune accueillir 700 personnes, selon une déclaration de Mohamed Bechari, qui dirige les associations de musulmans de la rue des Trois-Pavillons, au Parisien. La mairie argue également qu’elle a proposé l’installation d’une salle de prière complémentaire sur un terrain municipal, sans recevoir aucune réponse » de l’UAMC. De son côté, l’association estime que la mosquée est trop éloignée du centre-ville et trop exiguë, tout comme le deuxième terrain proposé par la mairie. Elle accuse la municipalité de ne pas lui proposer un terrain adapté avec option d’achat » pour pouvoir établir durablement un lieu de culte dans le centre de Clichy. Eléa Pommiers Vous pouvez lire Le Monde sur un seul appareil à la fois Ce message s’affichera sur l’autre appareil. Découvrir les offres multicomptes Parce qu’une autre personne ou vous est en train de lire Le Monde avec ce compte sur un autre appareil. Vous ne pouvez lire Le Monde que sur un seul appareil à la fois ordinateur, téléphone ou tablette. Comment ne plus voir ce message ? En cliquant sur » et en vous assurant que vous êtes la seule personne à consulter Le Monde avec ce compte. Que se passera-t-il si vous continuez à lire ici ? Ce message s’affichera sur l’autre appareil. Ce dernier restera connecté avec ce compte. Y a-t-il d’autres limites ? Non. Vous pouvez vous connecter avec votre compte sur autant d’appareils que vous le souhaitez, mais en les utilisant à des moments différents. 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